En 2016, au moment où le projet germe dans notre tête, l’euphorie nous gagne. On imagine tout et son contraire. On se projette dans un idéal, sans savoir où l’on va, et on arrive finalement au bout du chemin en ayant totalement déconstruit notre projet de base pour en faire quelque chose d’encore mieux !
Aujourd’hui, on parle beaucoup de l’entrepreneuriat, vague tendance aux allures de monde idéal. Lorsqu’on s’engage dans un projet, on y met toute son énergie. Le défi est grisant. Chaque nouvelle étape est une fierté et le défi est de taille. Mais l’entrepreneuriat a ses difficultés. La concurrence y est rude et l’envie de réussir peut faire flancher certains, au détriment de leurs valeurs. Alors pourquoi se jeter à corps perdu dans ce projet nous direz-vous ? Parce que l’envie de créer à deux est trop forte !
Les Inspiratrices, c’est le désir de mettre en avant notre propre conception de la communication : une slow communication, plus personnalisée, plus vraie et plus respectueuse de l’environnement. Dans ce projet, il y a l’envie de prendre le temps et de recréer du lien et de la confiance.
Mais monter son agence signifie sortir de sa zone de confort. C’est intégrer d’autres compétences essentielles au développement d’une entreprise, comme s’inventer commerciales et négociatrices. L’entrepreneuriat, c’est aussi un travail sur soi et la confiance que l’on y place. C’est transcender son savoir-être pour s’assumer, faire valoir son travail et affirmer haut et fort ses valeurs. C’est arriver à se vendre soi aussi bien que l’on communique sur nos clients. Tel un ovni entre freelance et agence, en faisant ce choix nous avons pu reprendre le temps nécessaire pour nous confronter et « limer notre cerveau contre celui d’autrui ».
C’est au final ce qui fait de nous de meilleures Inspiratrices, heureuses de se retrouver chaque matin au bureau pour de nouvelles aventures !
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